La fontaine à vin Une merveille d’idée publicitaire. Malheureusement la webcam ne fonctionne pas. Se trouve peu après Estella. Share this:TwitterFacebookLike Loading... Related
LE CHEMIN, un poème de Martine Sayous (trouvé sur le site d’un cercle de poètes parisiens : http://lecoinducercle.free.fr/) Sur le jacquet perdu Sur le flâneur secouru Sur le cœur attristé Sur l’âme réjouie sur les pieds surchauffés Sur les visages brunis Sur le passant assoiffé Sur le coureur amaigri Sur les corps fatigués Sur les mollets durcis Sur le pèlerin fasciné Sur le rêveur assoupi Sur la paix retrouvée Sur la tristesse enfouie Sur le vagabond trempé Sur le marcheur transi Sur le chien redouté Sur la biche aperçue Sur la peur maîtrisée Sur la solitude vécue Sur l’église visitée Sur la fontaine bénie Sur les larmes libérées Sur l’émotion contenue Sur le pain partagé Sur les mûres savourées Sur les vies dévoilées Sur les confidences reçues Sur la confiance témoignée Sur le sourire rendu Sur les gens rencontrés Sur les adieux émus Sur tous les pressés Sur tous les préoccupés Sur tous les émerveillés Sur tous les affaiblis Sur tous ceux qui cheminent en prêtant l’oreille aux profondeurs du silence… Veillent saint Jacques et son cortège d’anges qui les enveloppent de leur présence salvatrice… LikeLike Reply
Tu fais bien de revenir à l’essentiel. Ce poème dit tout et en cela il me touche. C’est du vécu. Merci PRINCE CONSORT. LikeLike Reply
En fait je n’ai plus peur. Il y a une semaine ou deux j’en ai tenu un en respect de manière magistrale. Ils savent maintenant à qui ils ont affaire😌. Commentaire déposé dans un café de Logroño. LikeLike
LE CHEMIN, un poème de Martine Sayous
(trouvé sur le site d’un cercle de poètes parisiens : http://lecoinducercle.free.fr/)
Sur le jacquet perdu
Sur le flâneur secouru
Sur le cœur attristé
Sur l’âme réjouie
sur les pieds surchauffés
Sur les visages brunis
Sur le passant assoiffé
Sur le coureur amaigri
Sur les corps fatigués
Sur les mollets durcis
Sur le pèlerin fasciné
Sur le rêveur assoupi
Sur la paix retrouvée
Sur la tristesse enfouie
Sur le vagabond trempé
Sur le marcheur transi
Sur le chien redouté
Sur la biche aperçue
Sur la peur maîtrisée
Sur la solitude vécue
Sur l’église visitée
Sur la fontaine bénie
Sur les larmes libérées
Sur l’émotion contenue
Sur le pain partagé
Sur les mûres savourées
Sur les vies dévoilées
Sur les confidences reçues
Sur la confiance témoignée
Sur le sourire rendu
Sur les gens rencontrés
Sur les adieux émus
Sur tous les pressés
Sur tous les préoccupés
Sur tous les émerveillés
Sur tous les affaiblis
Sur tous ceux qui cheminent en prêtant l’oreille aux profondeurs du silence…
Veillent saint Jacques et son cortège d’anges qui les enveloppent de leur présence salvatrice…
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Tu fais bien de revenir à l’essentiel. Ce poème dit tout et en cela il me touche. C’est du vécu. Merci PRINCE CONSORT.
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“Sur le chien redouté”
🙂
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En fait je n’ai plus peur. Il y a une semaine ou deux j’en ai tenu un en respect de manière magistrale. Ils savent maintenant à qui ils ont affaire😌. Commentaire déposé dans un café de Logroño.
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